Aller on se lance.

Rappel :

Avant c’était ça, et surtout il faut en arriver au même résultat… ou au moins à quelque chose d’approchant.

Comme on l’a vu précédemment, le chromage a été réalisé par un pro. Après avoir décollé  autocollants et écussons, et après avoir relevé sur un calque la forme et la position de la jonction peinture – chrome, des flans de réservoir. Ensuite c’est l’opération de masquage qui doit commencer. Le but étant de protéger de la peinture les flans qui doivent rester chromés. Et délimiter le plus précisément la limite peinture – chrome.

L’apprêt est de deux sortes : un apprêt en bombe au zinc pour les parties fortement attaqués par la rouille (sous le réservoir : photo au centre ci-dessous) , et un apprêt bi-composants au pistolet pour l’accroche (partie chrome du réservoir et autres pièces).  Le chrome a d’ailleurs été fortement dépoli au 600, comme on peut le voir sur la photo ci dessous.

Ensuite, c’est l’après. Et apprêt l’après (ou le contraire)…c’est la couleur. Le réservoir est traité résine G4 entre temps (voir article précédent traitement réservoir) La température est bonne, l’hygrométrie aussi, et pas de vent, parfait : Peinture !

Je n’ai pas photographié toutes les étapes car ce n’est pas évident les mains dans la peinture ! Ci-dessous les pièces après une couche de vert métallisé. La couleur n’est pas évidente sur les photos, les néons et l’appareil ne reproduise pas la couleur réelle. La couleur n’est cependant pas tout a fait la bonne au vu de la comparaison avec l’échantillon (photo ci-dessous a droite) Bien que l’échantillon est plus de trente ans et donc plus clair.

Je suis quand même déçu. Attendre maintenant le résultat avec le vernis qui changera un peu l’aspect …